Séminaire Crises et mutations
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vendredi 21 avril 1995
En 1984, le Groupe Sulzer cherche à sauver sa filiale française la CCM Sulzer dont les pertes s'alourdissent. Le licenciement de 20 % du personnel fait partie des mesures drastiques envisagées. Le climat social est déprimé. Avant de définir son plan d'action, B. MARTIN, nouveau Président, invite chacun, quel que soit son statut, à exprimer son point de vue. L'espoir renaît. Des groupes de travail se constituent par affinité. Devant l'ensemble du personnel, les groupes échangent leurs propositions en présence du Président, et celui-ci s'engage à en soutenir la réalisation, tant le consensus semble évident. C'est l'euphorie. Le succès sera au rendez-vous. Quelles ont été les conditions de cette réussite? Comment ont réagi les différents acteurs ? Qu'en est-il en 1995?
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Lucien CLAES
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