• Une entreprise bicentenaire réveillée par... le télétravail

    Mercredi 11 décembre 2024 | 17h30 - 19h30 Séminaire Aventures industrielles

    Après une carrière dans de grands groupes, puis comme créateur d’entreprises technologiques, Laurent Fullana est recruté par le groupe Horiba pour succéder au dirigeant de sa filiale française. Celle-ci, constituée par l’achat de Jobin Yvon, créée en 1819 avec une belle réputation de qualité, lui semble prise par un spleen : 10 % de départs par an, manque de confiance dans le management, pas de perspectives. L’idéal semble être de créer un instrument de mesure spécifique pour un chercheur de pointe, ce qui ne fait guère de marché porteur… Il décide alors de lancer un projet ambitieux à travers un ensemble de mesures de nature à lancer une dynamique nouvelle. De manière inattendue, la mise en œuvre du télétravail consécutive à la crise de la Covid-19 accélère le processus. La confiance sera le maître mot. Les membres de l’entreprise se tournent progressivement vers l’extérieur et inventent de nouveaux marchés au contact des clients. Laurent Fullana expliquera comment il a pu ainsi réveiller cette “belle endormie”.

  • Le développement durable selon Michelin, une ambition très ancienne

    Vendredi 22 novembre 2024 | 9h30 - 12h00 Séminaire Vie des affaires

    Dès sa création à Clermont-Ferrand à la fin du XIXe siècle, Michelin a cherché à concilier, dans un environnement rural, performance économique, besoins des personnes et lois de la nature. Le Groupe a favorisé les innovations durables (le pneu qui dure le plus longtemps) ou s’est préoccupé de l’obsolescence programmée (économie de la fonctionnalité). L’articulation entre sa raison d’être et sa stratégie a été une référence clé de l’étude sur les sociétés à mission commandée par le président Macron, qui a donné le jour à la loi PACTE. L’équilibre entre les trois dimensions de sa raison d’être actuelle, Profit, People & Planet, est suivi de près par son comité exécutif. Pour illustrer cette démarche, Nicolas Beaumont montrera la politique développée, en coopération avec des ONG, sur la culture des hévéas (source de caoutchouc naturel) pour concilier la performance économique, le besoin des personnes (des millions de planteurs) et ceux de la planète (lutte contre la déforestation).

  • Qu’est-il arrivé au management pour qu’il soit presque devenu un gros mot ?


    Les hôpitaux, l’éducation, la justice, les services publics en général… rien ne va plus ! Ce n’est pourtant pas faute d’avoir appliqué depuis les années 1990 les supposées bonnes recettes du management privé à la gestion publique. Et si le management se porte mal dans le public, il ne se porte pas beaucoup mi...

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  • Journal n°169 Octobre 2024

    La transition en action

  • Vendre son entreprise, un processus à multiples facettes

    Mardi 26 novembre 2024 | 17h30 - 19h30 Séminaire Aventures industrielles

    Quand un patron, sans héritier intéressé ou repreneur naturel, veut vendre son entreprise, il est confronté à des problèmes qu’il n’a pas toujours anticipés. Il lui faut chercher un acquéreur sans trop se mettre à nu et en choisir un qui ne cassera pas ce qu’il a construit. Il doit aussi mettre au clair ce qu’il fera après, la fiscalité étant très différente selon ses projets ultérieurs. Il doit estimer la valeur de son entreprise, en intégrant souvent d’autres critères que ceux de son comptable. Il lui faut gérer les inquiétudes du personnel, par exemple lors des audits de l’acquéreur. La négociation du prix, et ses à-côtés, est évidemment un moment clé. La vente, épisode crucial pour le patron et pour son entreprise, suit un processus souvent long, allant de douze à vingt-quatre mois, qui suppose de régler de multiples questions, plus ou moins prévues. Thierry Hernandez éclairera ce sujet à la lumière de son expérience de plus de quinze ans dans la vente et le rapprochement d’entreprises.

Nos dernières parutions - Tout voir

Débat stratégique : le reporting de durabilité, opportunité ou corvée pour les entreprises ?


Selon l’idée que ce qui ne se mesure pas n’est pas pris en compte dans les stratégies des entreprises, de nouveaux indicateurs ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) sont aujourd’hui proposés pour intégrer les enjeux de la transition écologique. Qu’il s’agisse de la mesure de l’impact du changement climatique sur la profitabilité de l’entreprise (matérialité financière) ou de la mesure de l’impact de l’activité de l’entreprise sur son environnement (matérialité d’impact défendue par la directive européenne CSRD), qu’en est-il du point de vue des entreprises? Les nouvelles exigences réglementaires européennes sont-elles raisonnables ou disproportionnées? Que sait-on vraiment mesurer? Sur quelles décisions les informations ESG peuvent-elles influer? Le reporting de durabilité va-t-il représenter une opportunité pour les entreprises les plus vertueuses en matière de RSE, ou une nouvelle corvée bureaucratique, qui pourrait nourrir les arguments des tenants de l’immobilisme ?

Comment Schneider Electric prend l'économie circulaire au sérieux


Au début des années 2000, Schneider Electric s’engage dans une politique de développement durable. Ses dirigeants, notamment Jean-Pascal Tricoire, président du Groupe, pressentent la nécessité de décarboner les activités, afin de les rendre plus durables, ainsi que la raréfaction des matières premières. La création de produits durables et recyclables, leur réparabilité et leur commodité d’usage sont les mots d’ordre au sein de toute l’entreprise. Les préoccupations climatiques aident à accentuer ces efforts, car, en garantissant des bénéfices environnementaux, Schneider Electric peut vendre des produits reconditionnés au même prix que des produits neufs à des clients qui cherchent à réduire leur impact carbone. Cette transformation nécessite de remettre en cause des normes et des habitudes très ancrées, d’agir pour mener ces transformations internes et de pousser à celles de l’écosystème.

Nos dernières parutions

Prochaines séances - Tout voir

Le développement durable selon Michelin, une ambition très ancienne

Séminaire Vie des affaires


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Vendre son entreprise, un processus à multiples facettes

Séminaire Aventures industrielles


Par

L'innovation en finance est-elle à la hauteur des grands enjeux contemporains ?

Séminaire Management de l'innovation


Par

  • Alexis COLLOMB, Professeur, titulaire de la chaire Finance de marché du Cnam
Nouveautés managériales 2024 : deux réalités occultées

Séminaire Les Invités de l'École de Paris


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Ouvrages

Faiseurs, Faiseuses

  • -

Par La Fabrique de l’industrie, l’UIMM et l’École de Paris du management

Qui, parmi celles et ceux appelant à un retour du made in France au nom de notre souveraineté industrielle, a seulement déjà vu une usine, sans même parler de la visiter ? Nous connaissons trop mal cet univers dont nous parlons sans cesse. Pour résoudre ce paradoxe, il faut braquer les projecteurs sur des exemples de ce que sont devenus aujourd’hui les métiers du faire.

La Fabrique de l’industrie, l’UIMM et l’École de Paris du management vous proposent le premier opus d’une publication commune, au format mook, intitulée Faiseurs, Faiseuses. Conçu comme un voyage enthousiaste à la découverte de celles et ceux qui font l’industrie, cet ouvrage répond à un constat sans appel : malgré le consensus post-Covid sur la nécessité de réindustrialiser notre pays, les entreprises ont toujours autant de difficultés à recruter, les usines à être acceptées, les jeunes à envisager ces métiers. Nos choix butent toujours sur les mêmes paradoxes, parce que nous sommes encore le jouet de vieilles représentations : qui, parmi celles et ceux qui se disent sensibles à la noblesse du métier manufacturier, a connu le travail en atelier ? Pas grand monde, en réalité. Pour que ce basculement s’opère, il faut braquer les projecteurs non pas sur des résultats théoriques, mais sur des exemples vivants et incarnés de ce que sont devenus aujourd’hui les “métiers du faire”.

Sortie en kiosque le 20 janvier 2023.

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Ouvrages

Prise de parole

2019 orateurs sont intervenus depuis la création des séances de l'École de Paris. Voici un aperçu de nos prochains invités :

Nicolas BEAUMONT

Ancien directeur du développement durable, Michelin

22 novembre 2024

Le développement durable selon Michelin, une ambition très ancienne

Thierry HERNANDEZ

Fondateur de 3R Entreprises

26 novembre 2024

Vendre son entreprise, un processus à multiples facettes

Alexis COLLOMB

Professeur, titulaire de la chaire Finance de marché du Cnam

27 novembre 2024

L'innovation en finance est-elle à la hauteur des grands enjeux contemporains ?

Franck AGGERI

Professeur de management, Mines Paris – PSL, CGS-i3, UMR CNRS, codirecteur de la chaire Mines urbaines

28 novembre 2024

Nouveautés managériales 2024 : deux réalités occultées

Véronique ANDRIEUX

Directrice générale du WWF France

28 novembre 2024

Nouveautés managériales 2024 : deux réalités occultées

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