Séminaire Vie des affaires
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vendredi 6 janvier 2012
- 9h30 - 12h
Après avoir œuvré dans des entreprises à capitaux français, américains, puis japonais, Guy Maugis a trouvé chez Bosch un cadre approprié pour faire de l’industrie. Ce Groupe, qui emploie 300 000 personnes dans 135 pays, n’a pas d’actionnaire : propriété de la fondation d’utilité publique Robert Bosch Stiftung GmbH, il est l’entreprise non cotée la plus grande d’Europe. Les bénéfices sont réinvestis dans l’entreprise, qui démontre année après année sa capacité à mener des projets de long terme et audacieux. L’amour du produit et la connaissance intime de l’industrie se retrouvent jusque chez les membres du conseil d’administration. Selon l’éthique de l’entreprise, le résultat comptable est vraiment un résultat et pas un objectif, le personnel une ressource et pas une variable d’ajustement, et ceci même lors de la crise de 2009. Quels enseignements tirer de ce modèle, le plus proche de ce dont rêvent tous les amoureux de l’industrie ?
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Élisabeth BOURGUINAT
Cette séance a été publiée dans le n°96 du Journal de l'École de Paris du management,
intitulé
Danse avec l'incertain.
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