Séminaire Vie des affaires
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                        vendredi 13 mai 2005
                        
                                            
                    
                    
                                                    Le groupe sidérurgique Arcelor est né d’une fusion entre l’espagnol Aceralia, le luxembourgeois Arbed et le français Usinor. Ces entreprises poursuivaient ainsi l’effort de concentration qui avait été entrepris depuis vingt ans dans les différents pays, généralement financé par les États, car l’industrie sidérurgique souffre chroniquement d’une plus faible concentration que celle de ses fournisseurs et de ses clients. Elle doit également relever de nombreux défis : la saturation des marchés des pays développés, l’explosion de la demande chinoise, la tentation permanente du raisonnement marginal. En interne, Arcelor doit convaincre ses cadres de la nécessité de transformation du groupe et harmoniser les différents types de management, afin de confirmer la réussite de cette opération de fusion, paradoxalement plus facile entre trois partenaires qu’elle ne l’aurait sans doute été à deux.
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Élisabeth BOURGUINAT
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°56 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                Défis.
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
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