Entreprise familiale et mondialisation

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Gaëtan MONCHOVET

Ancien PDG de Joker

Séminaire Vie des affaires | vendredi 7 mars 2003

En 2001, trois marques phares de l’industrie de la boisson française sont rachetées par des groupes étrangers. Joker, leader incontesté du jus de fruit en France, est l’une d’elles. Conséquence naturelle de la mondialisation ? Pourtant, l’entreprise familiale Joker avait, mieux que d’autres, tiré son épingle du jeu, en s’appuyant sur les atouts que lui conférait son caractère familial et les axes forts de sa culture : la qualité, l’innovation, la communication. Mais deux ans de résultats décevants l’ont acculée à la vente. À partir de cette histoire qu’il a vécue de l’intérieur, Gaétan Monchovet analyse les atouts des entreprises familiales dans le monde des affaires, et les limites qu’elles rencontrent face à la mondialisation pour s’interroger sur la place qu’elles peuvent avoir dans l’économie aujourd’hui.

Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :

Thomas PARIS

Cette séance a été publiée dans le n°42 du Journal de l'École de Paris du management, intitulé Les vertiges de la mondialisation.

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