Séminaire Vies collectives
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jeudi 27 février 2003
Face aux délits de plus en plus graves et nombreux des jeunes, les réponses traditionnelles paraissent de plus en plus inopérantes. Jean-Marie Petitclerc, polytechnicien, prêtre salésien et éducateur, analyse les différentes formes de violence et leurs significations, et propose d’y apporter des réponses différenciées. Selon lui, ce qui est naturel, c’est la violence, et ce qui n’est pas naturel et qui est donc le fruit de l’éducation, c’est la capacité de nouer une relation respectueuse avec autrui. Le monde des adultes doit, de façon collective et cohérente, réapprendre à éduquer les jeunes, et ce dans les différents lieux qu’ils fréquentent et où s’exerce leur violence : la famille, l’école, la rue… et maintenant également les entreprises.
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Élisabeth BOURGUINAT
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