Séminaire Vie des affaires
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vendredi 30 juin 1995
En théorie, les actionnaires français ont beaucoup de pouvoir, plus même que leurs homologues anglo-saxons. Mais dans les faits, le PDG est une sorte de monarque, peu menacé par le contrôle de l'assemblée des actionnaires, notamment parce qu'en droit français l'intérêt de la société prime sur celui des actionnaires. Cette exception française étonne souvent les étrangers.
Mais la logique des marchés financiers et le poids des Américains avec la globalisation financière feront émerger de nouvelles modalités de relations des entreprises françaises avec leurs actionnaires. C'est en tout cas la voie dans laquelle s'est engagé le Groupe Lafarge.
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Michel BERRY
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