L'année 2009 a été marquée par la prise de conscience de l'importance de la santé au travail. Les entreprises de plus de mille salariés doivent désormais publier leurs actions et accords sur la prévention du stress, et la multiplication des rapports RSE (responsabilité sociale des entreprises) manifeste la montée des préoccupations sur la qualité de vie au travail. S'agit-il d'une mobilisation passagère, ou est-ce l'amorce d'un mouvement de fond ? Pour cela, il faudrait réinventer les modalités de gestion et d'animation de la santé au travail, ce qui passe par la mobilisation des ressources humaines, des CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail), de la médecine du travail, des opérationnels et des représentants du personnel. Mais si les entreprises et les institutions publiques ont l'habitude de prendre en compte les risques “durs” comme les accidents du travail ou les maladies professionnelles classiques, elles sont moins rodées aux risques “mous” comme les RPS (risques psychosociaux). Que mesurer, sur quoi agir, sur quoi négocier et comment associer toutes les parties prenantes à ces enjeux ?
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