Séminaire Economy and meaning | mercredi 8 janvier 2020 - 9h00 - 11h30
Le prix Nobel de la paix décerné à Muhammad Yunus a popularisé la microfinance, et ses acteurs et institutions se sont multipliés dans le monde, avec du bon et du moins bon. La microfinance est souvent la seule alternative aux usuriers pour financer de petites activités génératrices de revenus, mais faute de subvention pour équilibrer leur coût d’exploitation, les institutions proposent des financements assortis de taux d’intérêt souvent élevés. Pour garantir la réussite de ces petites activités, la qualité de l’accompagnement peut être décisive. Comment développer l’impact social et environnemental de la microfinance en évitant d’adopter une approche trop mercantile ou, à l’inverse, trop philanthropique sans intégrer la question de la durabilité de l’ensemble ? La Fondation Grameen Crédit Agricole s’est engagée dans ce domaine avec des moyens importants. Comment a-t-elle trouvé sa voie et quelle vision a-t-elle aujourd’hui de l’avenir de la finance inclusive ?
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
François BOISIVON
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