- La mission de la Française de l’Énergie : produire l’énergie de demain
- Notre portefeuille de solutions énergétiques durables
- L’exploitation et la valorisation du gaz de mine des Hauts-de-France
- Notre solution sur mesure pour capter et valoriser le gaz de mine
- Béthune, le projet emblématique de la Française de l’Énergie
- Transformer le gaz de mine lorrain en hydrogène
- Le bio-GNL, solution d’avenir
- La solution Cryo Pur de la Française de l’Énergie
- Perspectives pour la Française de l’Énergie
- Les réserves de gaz de mine en France et en Europe
- Exploiter le gaz de mine à l’international ?
- L’écosystème circulaire du bio-GNL
- La solution Cryo Pur
- Moteurs et freins au développement de la Française de l’Énergie
Certaines solutions énergétiques sont négligées alors qu’elles contribuent à la sécurisation de l’approvisionnement à un coût raisonnable tout en étant en phase avec la transition écologique. Ainsi, la Française de l’Énergie récupère et valorise le gaz de mine, qui s’échappe naturellement dans l’atmosphère et peut constituer une réserve d’énergie pilotable significative à l’échelle d’un territoire. Cette société déploie également des systèmes innovants qui permettent de traiter les gaz de torchère, les fumées industrielles et les biogaz…
Exposé d’Antoine Forcinal
Après un passage par les classes préparatoires aux grandes écoles et une formation d’ingénieur en France, j’ai acquis une expérience de plus de quinze ans dans la gestion et le développement de projets énergétiques sur trois continents. J’ai été amené à produire du gaz, de l’électricité, de la chaleur à partir d’énergies fossiles en Europe, en Afrique et en Amérique du Nord pour différentes sociétés, dont les family offices des familles Perrodo et Bouygues.
Puis, en 2015, j’ai rejoint la Française de l’Énergie en tant que directeur général, avec l’objectif de créer un champion européen de la production d’énergies à faible empreinte carbone.
La France et de nombreux pays européens venaient d’adopter l’Accord de Paris et s’étaient engagés à réduire leur empreinte carbone. Or, j’ai rapidement constaté, chiffres à l’appui, que, tout au contraire, l’empreinte carbone liée à la consommation énergétique des Français ne cessait d’augmenter année après année.
Nous avons développé, depuis 2015, un certain nombre de solutions énergétiques pour limiter l’empreinte carbone des énergies fournies sur les territoires. J’aborderai ces solutions sous les angles technique, économique et stratégique.
La mission de la Française de l’Énergie : produire l’énergie de demain
La transition énergétique n’a de sens que si le prix de l’énergie à faible empreinte carbone proposé au consommateur reste compétitif. La mission de la Française de l’Énergie est de produire cette énergie de demain, une énergie compétitive à la fois sur le plan écologique et sur le plan économique.
Pour résoudre cette difficile équation, nous plaçons le circuit court au cœur de la production et de la valorisation d’énergies bas carbone. Nous substituons du gaz produit et valorisé localement à des importations de gaz de provenances lointaines (Qatar, Algérie, Russie, Norvège, gaz de schiste des États-Unis, Canada...). Cela diminue d’autant l’empreinte carbone liée à l’acheminement de ces gaz. Mieux, nous valorisons des ressources locales pour développer des solutions énergétiques à impact positif, qui permettent de réduire l’empreinte carbone des territoires. Cette énergie locale à impact positif va dans le sens de l’Accord de Paris. Elle assure également notre résilience et notre futur énergétiques.
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