Séminaire Entrepreneurs, villes et territoires
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mercredi 6 juillet 2005
Les porte-conteneurs modernes ne pouvant stationner qu’en eau profonde, les ports situés dans les terres sont entrés en récession, et une politique nationale a été mise en place en Grande-Bretagne pour y faire face. À Londres, deux mille hectares de terrains vagues et pollués ont transformé ces lieux témoins de l’âge d’or du commerce colonial en un paysage apocalyptique. Installés dans trois méandres de la Tamise, trois secteurs sont concernés sur trois communes distinctes. L’aménagement de l’ensemble a été confié de 1981 à 1998 à une agence, la London Docklands Development Corporation (LDDC), qui a régné sur ce territoire afin de le transformer en une zone urbanisée pour classes moyennes supérieures… Bien que les relations ne fussent pas toujours harmonieuses avec les municipalités, un take off significatif s’est produit même si le projet dans lequel des promoteurs canadiens ont beaucoup investi semble marquer le pas. Neil Parkyn témoigne sur cette métamorphose encore inachevée.
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Francis PAVÉ
François WEILL
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