Séminaire Vies collectives
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jeudi 12 février 1998
Pour répondre à un sentiment d’insécurité des usagers et face à l’ampleur du malaise social, la SNCF propose aux sans-abri des soins, un hébergement d’urgence, et la possibilité de rencontrer des travailleurs sociaux ; des “agents d’ambiance” recrutés dans le cadre des contrats “emploi-ville” assurent dans les trains des fonctions de médiation. De plus, mille quatre cents “emplois-jeunes” seront créés en 1998. Saura-t-on ménager un avenir à ces jeunes qui auront acquis un précieux savoir-faire ?
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Patricia DAHAN
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