Cette thèse montre l’intérêt du dispositif d’étude de cas à grande échelle, par “carottages”, mis en place par l’École de Paris du management. La discussion des fondements méthodologiques de cette méthode apporte un regard renouvelé sur la démarche de l’École de Paris et sur la recherche par études de cas. Christophe Deshayes l’illustre par l’analyse de l'excubation, “pépite” découverte au cours de ses “carottages”, et par une analyse (parue dans Gérer & Comprendre en septembre 2019) des stratégies des grandes entreprises face à la menace d’ubérisation par les plateformes.
Thèse disponible en ligne : https://theses.hal.science/tel-04048920
Qui, parmi celles et ceux appelant à un retour du made in France au nom de notre souveraineté industrielle, a seulement déjà vu une usine, sans même parler de la visiter ? Nous connaissons trop mal cet univers dont nous parlons sans cesse. Pour résoudre ce paradoxe, il faut braquer les projecteurs sur des exemples de ce que sont devenus aujourd’hui les métiers du faire.
La Fabrique de l’industrie, l’UIMM et l’École de Paris du management vous proposent le premier opus d’une publication commune, au format mook, intitulée Faiseurs, Faiseuses. Conçu comme un voyage enthousiaste à la découverte de celles et ceux qui font l’industrie, cet ouvrage répond à un constat sans appel : malgré le consensus post-Covid sur la nécessité de réindustrialiser notre pays, les entreprises ont toujours autant de difficultés à recruter, les usines à être acceptées, les jeunes à envisager ces métiers. Nos choix butent toujours sur les mêmes paradoxes, parce que nous sommes encore le jouet de vieilles représentations : qui, parmi celles et ceux qui se disent sensibles à la noblesse du métier manufacturier, a connu le travail en atelier ? Pas grand monde, en réalité. Pour que ce basculement s’opère, il faut braquer les projecteurs non pas sur des résultats théoriques, mais sur des exemples vivants et incarnés de ce que sont devenus aujourd’hui les “métiers du faire”.
Sortie en kiosque le 20 janvier 2023.
Comment libérer les énergies dans une organisation publique hiérarchique et traditionnelle ? À travers la transformation de la CPAM des Yvelines (1200 salariés sur 15 sites) racontée de l’intérieur par celui qui l’a conduite, c’est une véritable leçon de mise en mouvement des organisations qui nous est donnée.
Soucieux que le personnel gagne en efficacité tout autant qu’en plaisir au travail, l’auteur a engagé un vaste chantier de libération des énergies avec comme ligne directrice l’autonomisation, la confiance ou encore la reconnaissance. Loin d’appliquer des dogmes managériaux, tels ceux de l’entreprise libérée, il prône une démarche de bon sens, pragmatique, partant du terrain et accordant le droit à l’erreur. Et les résultats sont là : diminution de l’absentéisme et du turnover, amélioration du service rendu aux assurés…
En 2008, alors que Frédéric et Julien Lippi viennent de reprendre les rênes de l’entreprise familiale de fabrication de clôtures, celle-ci est frappée de plein fouet par la crise. Les deux frères comprennent qu’ils devront revoir de fond en comble son modèle économique et managérial s’ils veulent tenter de lui assurer un avenir. La transformation qu’ils initient va toucher tous les aspects de l’entreprise. En une quinzaine d’années, ils ont réorganisé les ateliers, numérisé la gestion, révolutionné le management, défini une nouvelle stratégie, réinventé sa marque, construit une nouvelle offre, donné un nouveau souffle aux commerciaux et créé un réseau de concessionnaires...
Ce livre est le fruit de 65 heures d’entretiens menés par Élisabeth Bourguinat avec une trentaine d’interlocuteurs : les dirigeants de Lippi, mais également des salariés travaillant dans différents services de l’entreprise, ainsi que des consultants qui les ont accompagnés tout au long de la transformation.
À travers sa page Idées, publiée dans Le Journal de l’École de Paris du management depuis sa création en 1997, Claude Riveline nous fait part de ses réflexions éclairantes et malicieuses sur le management. Tout comme celles du premier tome, paru en 2006, les Idées de ce second tome sont à découvrir ou redécouvrir à la lumière du monde actuel.
Pour commander cet ouvrage ou pour tout renseignement, merci de nous envoyer un mail à l'adresse contact@ecole.org
Tarifs
Idées Tome II, version papier + numérique : 10 € + frais de port*
Offre spéciale : Idées Tome I + Idées Tome II (papier + numérique) : 15 € + frais de port*
Idées Tome II, version numérique (formats disponibles : PDF, EPUB et MOBI) : 7 €
* Frais de port : 5€ pour 1 à 2 exemplaires – à partir de 3 exemplaires et pour les envois à l'étranger, merci de nous contacter.
La transformation digitale est devenue une priorité affichée pour toutes les entreprises. On entend cependant dire souvent que les grandes organisations françaises auraient pris du retard dans cette transformation. Qu'en est-il vraiment ? A travers une vingtaine d'entretiens approfondis avec des dirigeants d'entreprises historiques, d'ETI, et des responsables d'organisations publiques ou mutualistes, l'auteur nous emmène dans les coulisses de la transformation au plus haut niveau.
Contrairement à un cliché trop répandu, les dirigeants sont plongés 24H/24 dans ce monde digital qui rebat les cartes des métiers et des positions acquises. Quelle est leur préparation ? Comment se saisissent-ils de cette problématique ? Comment conçoivent-ils leur rôle ? Avec quelle vision stratégique et quels moyens ? Si chacun aborde la question selon les priorités de son secteur d'activités, tous sont à la manoeuvre pour relever le défi lancé par ce nouveau monde.
Ni désespérés, ni impuissants face aux avancées des pure players, ces grands patrons semblent avoir les idées claires sur leurs atouts, leurs faiblesses et les moyens de tirer leur épingle du jeu, en cultivant leur singularité. Certains semblent même y avoir trouvé une nouvelle combativité. Leur parole pourra inspirer utilement des entreprises moins avancées, ainsi que les dirigeants des nombreuses PME et ETI qui s'interrogent sur la façon d'aborder cette question à l'échelle de leur entreprise ou de leur écosystème.
>> Pour voir l'édito vidéo de Christine Kerdellant, diretrice de la rédaction de L'Usine Nouvelle, consacré à cet ouvrage, cliquez ici.
>> Pour voir l'interview de Christophe Deshayes par Jean-Philippe Denis, pour Xerfi Canal, cliquez ici.
« Aujourd’hui, je prends la parole avec ce livre. Je prends la parole, pourtant jamais je n’ai prononcé le moindre mot.
De moi, on ne comprend de prime abord que le rire – je n’en suis pas avare – et, pour peu qu’on y prête attention, mes enthousiasmes et mes refus. Pour le reste, mes interlocuteurs doivent s’armer de patience et me décrypter lettre après lettre, mot après mot. Certains maîtrisent mon code : l’épellation.
Avec les autres, je coiffe ma “licorne”, un casque doté d’une antenne grâce à laquelle je parviens, au prix d’efforts, à désigner des lettres sur un panneau fixé devant mon fauteuil.
Je m’appelle Philippe Aubert, j’ai 37 ans et je suis invalide moteur cérébral athétosique – quatre mots auxquels on voudrait souvent réduire mon identité. En d’autres termes, je suis rivé à un fauteuil et j’ai besoin d’aide pour le moindre geste de la vie quotidienne : me lever, me coucher, me nourrir, faire ma toilette, lire, écrire, aller au cinéma, boire un verre avec des amis, voyager… Ceci est mon histoire, mon combat, l’expression de ma rage d’exister ! » – Philippe Aubert
Ce livre est né d'une séance marquante du séminaire Économie et sens, « Je serai un homme », qui nous fit découvrir le destin hors du commun de Philippe Aubert et Jackson Sintina.
À l’heure où la métropole lilloise et la nouvelle région des Hauts-de-France veulent s’affirmer comme territoires créatifs et innovants, au rendez-vous du développement durable et de la Troisième Révolution Industrielle, il est un patron – jusqu’ici discret – qui dit « Chiche ! » : Antonio Molina. Avec son programme Verem, il veut faire de la métropole lilloise la capitale mondiale des matériaux complexes. Président du groupe de peinture Mäder et du pôle de compétitivité Matikem, le pôle des matériaux, de la chimie verte et de l’innovation, Antonio Molina a un parcours professionnel atypique. Nous suivons ici son parcours sans faute, ses engagements, ses valeurs ; nous découvrons un ingénieur et un financier. Trop beau ? En acceptant la présidence du pôle Matikem, Antonio Molina veut y appliquer les recettes qui lui ont réussi dans le groupe Mäder : recherche, innovation, partenariat université / entreprise. Dans une région marquée par les mutations du xxe siècle, des hommes comme Antonio Molina sont précieux. Son programme Verem articule les enjeux de l’innovation, de la compétitivité et de l’équité territoriale. Tout ce qu’il aime !
À travers cette série d’entretiens, recueillis entre 2013 et 2016, André Ulmann retrace son parcours d’entrepreneur et décrit en même temps son engagement au service de la cause féminine : il s’agit d’une double carrière qui conduira à la mise sur le marché du RU 486 (“la pilule abortive”) en 1988 et onze ans plus tard à celle de la “pilule du lendemain”. Et qui permettra la création réussie d’une entreprise pharmaceutique répondant à des besoins médicaux non satisfaits dans le monde entier.
À la façon des chercheurs prélevant des carottes de glace pour étudier le climat des millénaires passés, Élisabeth Bourguinat réussit, à travers l’étude d’un seul mot, à éclairer de façon passionnante l’histoire de la société et des idées du XVIIIe siècle. Il est vrai qu’il ne s’agit pas de n’importe quel mot. Le persiflage, apparu brusquement vers 1734, connaît aussitôt un immense succès dans la société mondaine, avant de décliner tout aussi rapidement dès le début de la Révolution. Après avoir servi à désigner le jargon amphigourique et frivole des petits-maîtres, il renvoie à la pratique libertine de la mystification, puis à la gaieté philosophique. Voltaire, Rousseau, Diderot, Crébillon fils, Laclos, mais aussi beaucoup d’auteurs moins connus s’essaient aux différentes formes du persiflage, objet tout à la fois de fascination et de scandale, et révélateur subtil des paradoxes de ce temps.
Cet essai érudit, drôle et captivant a été publié pour la première fois en 1998 par les PUF. Aussitôt considéré comme un ouvrage de référence, il était depuis quelques années devenu introuvable et sa réédition était attendue, comme en témoigne la préface d’Arlette Farge.
Evoquer en France l’aide alimentaire renvoie directement à l’image d’un comique trop tôt disparu et à l’association qu’il a créée. C’est oublier un peu vite qu’il y a différents types d’aides alimentaires et beaucoup d’acteurs impliqués défendant des concepts aussi variés que complémentaires. A l’A.N.D.E.S., le réseau des épiceries solidaires, qui en rassemble 280, le bénéficiaire est un client qui choisit ses produits et participe financièrement à ses achats. Combattre l’assistanat est donc au cœur de la démarche de Guillaume Bapst, le fondateur et directeur du réseau, et de ses équipes. Une première bataille qui en a appelé d’autres : la lutte contre le gaspillage et l’amélioration de l’alimentation des personnes précaires.
Ce livre retrace l’histoire de cette association et de son développement en donnant la parole à ses salariés, bénéficiaires, bénévoles, partenaires… mais aussi à des experts de l’aide alimentaire. Une question aux confluents de plusieurs problématiques, sociales, sanitaires et environnementales.
Comment transformer et faire revivre un territoire dévasté par la disparition d’une quasi mono-industrie, celle des mines et de l’extraction du charbon dans le bassin du Pas-de-Calais au sud de Lille entre Lens et Valenciennes, et y développer un nouveau modèle économique, écologique et social estampillé du sceau de “Troisième révolution industrielle”? C’est le pari audacieux, unique en France, et réussi, du maire écologiste d’une petite commune de 7000 habitants, Loos-en-Gohelle, nichée au pied des anciens terrils. Cet “écolo” au pays des “Gueules noires”, Jean-François Caron, mène depuis 15 ans le combat pour une “résilience écologique” et a fait de sa commune l’emblème réalisé de la ville de demain : autonomie énergétique, écrin vert, démocratie présentative plutôt que participative, réseaux “intelligents”, logements sociaux écoconstruits, laboratoire scientifique et citoyen. A tel point que l’économiste, sociologue et essayiste américain Jérémy Rifkin, chantre de cette troisième révolution industrielle, a fait de Jean-François Caron son principal appui en France afin de développer ces concepts à plus grande échelle.
A travers des rencontres, récits, interviews et témoignages de personnalités politiques, chercheurs, chefs d’entreprises ou citoyens ayant travaillé avec Jean-François Caron, ce livre raconte les chemins des convictions, des méthodes de travail et des modes opératoirs qui mènent à la ville de demain. Aujourd’hui en Fance, au moment du grand rendez-vous de fin d’année à Paris pour la COP 21, carrefour mondial pour l’avenir climatique de la planète.
La France a besoin de relancer son industrie, mais les Français sont réticents : voici un ouvrage qui devrait changer leur vision de l’usine. Joseph Puzo, fils d’ouvriers immigrés d’origine italienne, devenu ingénieur, rachète en 1985 la PME de fabrication de câbles dont il était le directeur, et l’emmène vers des sommets de technologie. Sa société Axon’ produit aujourd’hui différents câbles qui équipent les satellites européens, l’accélérateur de particules du CERN ou encore le coeur artificiel Carmat. Devenue une « multinationale de poche », elle emploie 1 800 personnes, dont la moitié en France, et fait partie de ces entreprises de taille intermédiaire (ETI) innovantes et exportatrices qui représentent pour notre pays d’énormes opportunités de développement économique et de création d’emplois.
En suivant Joseph Puzo dans ses aventures, le lecteur découvre qu’il est possible de réinventer l’industrie pour en faire quelque chose à la fois de très excitant et de très humain : des entreprises efficaces et conquérantes, mais aussi des entreprises à vivre.
Le Mook autrement série « Industrie, recherche, innovation » Magazine / book
Le Mook (magazine / book) raconte le changement, ses lieux, ses acteurs et leurs démarches, avec une vaste panoplie d'écritures et d'images. Il propose des focalisations originales, parfois inattendues, toujours révélatrices. Cette diversité, autant narrative que graphique, veut susciter chez le lecteur plaisir de tire, de découvrir, d'inventer.
Non, la France n'est et ne sera pas seulement ce pays agricole et touristique, envahi par des hordes de visiteurs en provenance des pays émergents, que nous prédit Michel Houellebecq dans son dernier roman, La Carte et le Territoire.
L'industrie joue un rôle moteur et central dans notre économie, mais elle est très largement méconnue, et son image d'engrenages et de cambouis, héritée des années 1930, continue de la poursuivre. Avec 90 % des dépenses en recherche et développement des entreprises, c'est l'industrie qui tire l'innovation. Avec plus de 80 % des échanges commerciaux, c'est elle qui tire les exportations. C'est encore elle qui, grâce aux avancées technologiques qu'elle développe, peut répondre aux nombreux défis environnementaux, énergétiques, alimentaires, médicaux..., auxquels notre planète est confrontée. Pas d'économie forte, pas de vision d'avenir, sans un socle industriel solide.
Ce Mook nous fait comprendre autant qu'il nous donne à voir que L'Industrie est une aventure, peut-être l'une des dernières grandes aventures humaines. 20 entreprises, 25 décideurs et 15 experts témoignent et racontent « leur » industrie, dessinant un paysage surprenant et incroyablement diversifié, traversé de bouleversements de grande amplitude et de talents exceptionnels. Autour de quatre grands thèmes - mondialisation, mutations, innovations et réseaux -, vous découvrirez que la voiture électrique pourrait bien « changer le monde » ; comment fut créée la pilule du lendemain ; comment des canards français ont conquis la Chine... et bien d'autres histoires extraordinaires. Autant de visages actuels de l'industrie qui tranchent sur des clichés dépassés et donneront envie au lecteur de participer à cette aventure.
Loin des patrons de start-up ou des gourous du high-tech, trop souvent présentés comme les acteurs ou experts d'une révolution réduite à l'internet et au mobile, ce livre plonge le lecteur dans un monde où les révolutionnaires sont des citoyens ordinaires, de tous âges, toutes confessions, toutes origines sociales. Ils sont mus par des motivations variées, parfois inattendues, voire loufoques, souvent peu durables, mais capables de changer les choses et peut-être le monde ! Sous l'effet de la mise en réseau, l'action, même isolée, devient contagieuse, entraîne d'autres motivations et ainsi de suite.
Observateurs reconnus des transformations de la société, les deux auteurs donnent ainsi à voir la vraie nature de la révolution numérique, davantage sociale et culturelle que technologique : musique, jeu, ville, éducation, militantisme, entreprise... ce sont les acteurs de cette révolution qui témoignent.
C'est une révolution inhabituelle car elle est menée, une fois n'est pas coutume, sans effusion de sang, par une cohorte de volontaires sans chef ni idéologie, de manière ludique et joyeuse, sans espoirs déraisonnables et sans engagement durable. Une révolution qui se déroule simultanément et partout dans le monde...
Un livre à mettre entre toutes les mains, qui propose un voyage palpitant dans la société de demain, en compagnie d'acteurs de terrain de cette transformation : les vrais révolutionnaires du numérique. Il est complété par un site internet aux nombreux liens, belvédère idéal pour observer avec un peu de hauteur cette révolution joyeuse : www.revolutionnairesdunumerique.com
Depuis sa parution en 1997, Le Journal de l'École de Paris publie une page “Idées” confiée à Claude Riveline. C'est souvent la page sur laquelle les lecteurs se précipitent en premier car ils apprécient ces réflexions originales et incisives, qui sont au management ce que les Propos d'Alain sont à la philosophie. Réunis en un même ouvrage, ces textes montrent la richesse de son inspiration.
Pour vous procurer cet ouvrage, contacter l'École de Paris du management.
Des décideurs du monde économique et social – chefs d’entreprises, responsables territoriaux, dirigeants d’associations – parlent en direct de situations précises auxquelles ils ont été confrontés, et mettent en lumière la manière dont une organisation réagit à une crise, en mettant en jeu des moyens humains et en inventant des solutions inédites. A travers 8 témoignages de dirigeants, un aperçu des problématiques et des enjeux économiques et sociaux aujourd’hui.
Après l’épisode de la fermeture de l’usine de Vilvoorde, Michel de Virville, DRH de Renault, et Danielle Kaisergruber, consultante, reviennent sur la conduite des négociations avec les syndicats français et belges.
Pourquoi et comment Renault s’est-il lancé dans l’alliance avec Nissan ? Georges Douin, membre du directoire de Renault-Nissan, explique la stratégie et les ressorts du rapprochement entre les deux groupes.
A la tête d’une MAAF au bord de la faillite, Jean-Claude Seys triomphe des préjugés du conseil d’administration et se lance dans une campagne électorale hors du commun, qui marquera le début du redressement de la mutuelle.
Comment accéder à un statut international quand on est petit, seul, mal portant et de surcroît français ? En quelques mots, Noël Goutard, PDG de Valeo, montre comment engager en six semaines une stratégie d’internationalisation à marche forcée.
Au cœur du conflit afghan, le colonel Jean-Marc Denuel prend le commandement d’une base au Kirghizstan, et met en scène une comédie humaine formidable et insoupçonnée, tout en offrant une leçon de management magistrale.
Grâce à des méthodes originales et ambitieuses, le président d’Itecom, Luc Michaud, révèle comment il est parvenu à concilier les exigences de rentabilité à court terme de sa direction et sa volonté de préserver au sein du groupe confiance et respect.
Pour acheter ce livre, contactez-nous à l'adresse pelieu@ensmp.fr.
Des décideurs du monde économique et social – chefs d’entreprises, responsables territoriaux, dirigeants d’associations – parlent en direct de situations précises auxquelles ils ont été confrontés, et mettent en lumière la manière dont une organisation réagit à une crise, en mettant en jeu des moyens humains et en inventant des solutions inédites. A travers 8 témoignages de dirigeants, un aperçu des problématiques et des enjeux économiques et sociaux aujourd’hui.
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