Séminaire Working breakfasts
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mardi 21 octobre 1997
La performance économique et la sûreté des centrales nucléaires se jouent en grande partie dans l’activité quotidienne de conduite. Ceci est illustré par un exemple tiré d’une étude de terrain. Le facteur humain, souvent présenté comme le maillon faible des centrales, apparaît comme le pivot d’une stratégie d’amélioration de la sûreté fondée sur la capacité d’adaptation et de rattrapage des situations imprévues. Mais saura-t-on le reconnaître à sa juste place ?
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Benoît JOURNÉ
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