L’horlogerie française : genèse d’une réindustrialisation


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Sandrine MARCOT

Présidente déléguée de l'Union de la Bijouterie Horlogerie, ex-directrice déléguée de France Horlogerie


Tony da MOTTA CERVEIRA

Consultant, spécialisé en stratégie d'innovation et Board Advisor de start-up

Séminaire Industrial adventures | jeudi 19 février 2026 - 17h30 - 19h30
Mines Paris (60, boulevard Saint-Michel - Paris) Participation à distance possible

Héritière d'un savoir-faire d'exception, l a filière horlogère française fut l'une des grandes pionnières mondiales de la mesure du temps. Pourtant, ce prestige historique a failli sombrer dans l'oubli. La base productive de cette filière a été laminé par une série de crises, de la révocation de l'édit de Nantes, qui provoqua l'exil des artisans horlogers protestants vers la Suisse, à la vague de désindustrialisation des années 1970, aggravée par la révolution du quartz. L'industrie horlogère s'est alors progressivement muée en une filière d'assemblage, dépendante de l'étranger. Mais depuis quelques années, un renouveau inattendu s'amorce. Face à une nouvelle crise, celle de la Covid-19, la filière a décidé de reprendre son destin en main. C’est par un élan entrepreneurial, avec une mobilisation inédite de modèles académiques du management de l’innovation que s’explique la genèse de la réindustrialisation de l’horlogerie française. 

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Inscription gratuite -  Arrêt des inscriptions le jeudi 19 février 2026 à 12h00

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