Séminaire Working breakfasts
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mardi 25 novembre 1997
Longtemps l’analyse des déterminants des grandes fusions-acquisitions a été marquée par la primauté du rôle des directions générales et de leurs décisions stratégiques épisodiques. Adoptant une approche à la fois longitudinale et “évolutionniste”, le professeur Ruehli se propose de montrer comment une analyse fondée sur la notion de “path dependencies”, et un cas typique - Novartis, peuvent apporter un éclairage différent mais complémentaire sur la conduite d’une fusion. Le débat a montré qu’il fallait aller dans les détails de la vie quotidienne des acteurs pour juger de l’efficacité à long terme d’une alliance de cette sorte.
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Philippe PIRON
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