Séminaire Working breakfasts
|
mardi 10 février 1998
Tout policier peut se servir de son arme pour sa protection ou celle d’autrui, à condition que les cas de légitime défense soient patents. Selon P.-F. Bertaux, un policier en service sur mille a tiré chaque année, et moins d’un tir sur quinze a été sanctionné. Il faut avoir conscience que le policier réagit généralement très mal après un tir, même légitimé, et faire en sorte que celui qui n’a fait que son devoir en se servant de son arme puisse reprendre rapidement l’exercice normal de son métier.
Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
Lucien CLAES
Cette séance a été publiée dans le n°13 du Journal de l'École de Paris du management,
intitulé
Savoir s'étonner .
Aucun commentaire