Séminaire Economy and meaning
                        |
                        jeudi 28 juin 2012
                                                    - 9h - 11h30
                        
                                            
                    
                    
                                                    Société du CAC 40, Essilor a pour premier actionnaire un ensemble de treize mille salariés (actifs ou retraités) qui détiennent 8,3 % du capital et près de 15 % des droits de vote. La moitié d’entre eux sont réunis au sein de l’association Valoptec qui, grâce à une mécanique finement réglée, joue un rôle clé dans la gouvernance de l’entreprise. Trois représentants de Valoptec siègent au conseil d’administration du groupe Essilor. Inversement, la direction générale d’Essilor assiste aux conseils d’administration de Valoptec, qui sont l’occasion d’échanger, de faire remonter les questions recueillies par les représentants locaux et d’y apporter des réponses. Une fois par an, la direction d’Essilor doit se soumettre au vote de confiance de l’assemblée générale de Valoptec sur la stratégie du Groupe et sur sa politique de ressources humaines. Pour Aïcha Mokdahi, l’actionnariat salarial et sa fédération au sein de l’association Valoptec sont un facteur déterminant de la performance du Groupe, grâce à la vigilance exercée collectivement par les salariés mais aussi par les retraités, et à leur engagement exceptionnel pour la pérennité de l’entreprise.
                                            
                    
                    
                                                                
                                            
                                                            
                                    Le compte rendu de cette séance a été rédigé par :
                                                                            Élisabeth BOURGUINAT
                                                                     
                            
                                                     
                        
                                                                                                            
                                
                                    
                                        
                                        
                                            
                                                Cette séance a été publiée dans le n°98 du Journal de l'École de Paris du management,
                    intitulé
                
                                                La clairvoyance.
                                            
                                         
                                     
                                 
                                                    
                                                
                                                
                                                	
                                                	
                                                
                                                 
        
Aucun commentaire